Je ne sais pas si c'est la bonne catégorie, si ce n'es pas la bonne je m'en excuse
J'ai censurer pour les jeune personne sensible, pure, et innocente 8'(
Le jour ou ma vie a basculées; j'ai la maladie de l'Alfredossimotassimo...
Reportage passer dans tellement vrai et confession intime.
Partie 1 tirés de confession intime, retranscription à l'écrit trouvé sur un blog. (le reportage est très vieux, il date de 2000, les videos, images etc, on été supprimer, il ne nous reste que l'écrit du malade (supprimer aussi.))
Partie 1 : Bonjour à tous. En ce jour, je m’apprête à vous avouer mon plus grand secret. Mon cas n’est pas “normal” mais je n’y suis pour rien, alors ne me jugez pas. Je n’ai pas demandé à être ainsi et je ne demande qu’à être compris. Je suis Alfredossimotassimo, je suis bisexuel, je mesure 1m01, je pèse 98 kilos et je vis en Mongolie. Mon problème est que..JE SUIS UN GROS PORC QUI SE BRA*** DEVANT OUI-OUI. UN JOUR, JE ME SUIS MOI-MEME SURPRIS EN TRAIN DE FANTASMER SUR DES NUGGETS. JE ME SENTAIS EXCITÉ AU PLUS HAUT POINT ET IL FALLAIT QUE JE ME SOULAGE.
SOUDAIN, UNE IDEE ME VENAIT A L’ESPRIT. JE PRENAIS LE FOUET A CUISINE DE MA MERE, CELUI AVEC LEQUEL ELLE FAISAIT DES CREPES, PUIS JE ME METTAIS A FOUETTER MON PENIS JUSQU’AU SANG. JE HURLAIS MON PLAISIR, MA DOULEUR ET MON EXCITATION “CINDY”. CINDY EST LE NOM QUE J’AVAIS DONNÉ A MA NUGGET FAVORITE. COMME JE DISAIS, JE HURLAIS DANS TOUTE LA MAISON, SI BIEN QUE LES POMPIERS SONT ARRIVÉS. ILS ONT EMPRISONNÉ MON PÉNIS DANS UNE CAGE A OISEAU ET JE NE L’AI PLUS JAMAIS REVU.
La partie 2 et 3, avec mes recherches, on été écrites en 2010, si je ne me trompe pas, à mon avis, il la écrit car il a enfin accepter sa différence 8'(
Quelques années plus tard, j'étais comblé. J'avais une femme, des enfants et un travail. Souvenez-vous, dans la partie précédente, je vous avez raconté mon histoire et comment mon pénis avait disparu. Seulement, ma femme, Annette, avait réussi à tomber enceinte. Elle me jurait que l'absence de mon pénis ne la gênait aucunement et qu'elle ne m'avait jamais trompé. Je la croyait lorsqu'elle me disait que la cigogne lui avait rentré des bébés dans l'an**. Humhum, dans le va***, autant pour moi. Un été, alors que ma famille et moi étions en vacances en Belgique, nous nous baladions dans un ***shop.
Les belges, très ouverts d'esprit, avait emporté ma femme et un chien très chaud commençait à se déhancher et à mettre son museau dans ses sei**. Mes enfants, eux, avaient été embarqués par des hommes nus. Je ne me posais aucune question, ces personnes là ne cherchaient que le plaisir et non le mal, pourquoi s'inquiéter ? Bref. J'avais les yeux rivés sur des lapins s'emboitant sur l'écran au milieu de la grande salle principale. Et soudain, je voyais ce que je n'aurais jamais cru revoir. Mon pénis. Lui, là, en chaires et en veines veineuses. Il était posé sur une co***** en plastique, rayonnant comme jamais. JE LE PRENAIS CONTRE MOI, ME FROTTAIT A LUI, LE LECH*** ET LE RENTRAIS DANS MON ORIFICE BUCCAL. Et un vélo me percuta.
Ensuite, la partie 3 (la dernière d'après mes recherches) Ce n'est peut-être pas la fin....Mes recherches n'ont rien trouvés d'autres... JE VOUS PREVIENDRAIS SI IL Y A DES SUITES
Partie 3 : Bon bon bon, voici la suite de mon histoire tragique. Quand je dis qu'un vélo m'a percuté, il m'a pas vraiment percuté car voyez-vous, un vélo ne fait pas le poids contre mes 98 kilos. Je me relevais et j'étais tellement énervé que sans m'en rendre compte je venais de jeter mon pénis sur le conducteur du vélo. Je regrettais immédiatement mon geste d'impulsivité alors j'allais récupérer mon pénis. Il était blessé, son chapeau était dans la bouche d'un oiseau qui s'était enfuit avec. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Le chapeau, autrement dit le gl*** de mon pénis n'était plus de ce monde. Comme pour me faire pardonner de l'avoir si violemment jeté, je baissais mon pantalon puis enfonçais tout aussi violemment ma raison de vivre dans mon gros trou d'a*** agrandi plein de pelote mais je savais qu'il aimait ça. Un grognement s'échappait de sa bouche, mmh que c'était bon. De plus, il était si imposant que pendant un moment je cru qu'il allait ressortir de ma bouche, comme une *********. Au bout d'un certain moment il crachait en moi, buueurg. <-- bruit de vomissement (à ne pas dire à l'oral.) Je le ressortais et l'enlaçais. Il m'avait tant manqué. Seulement j'avais oublié ma famille. Par la suite, je les aperçevais descendre de l'étage du ***shop en souriant comme des phoque handicapés. Et un vélo les percuta.
Voilà, la fin, assez tragique.